La fin des études collégiales apporte toujours son lot de questionnement : et maintenant, qu’est-ce que je fais ? C’est quoi la suite ? Poursuivre ses études à l’université est bien sûr une option. C’est cette route que Klara Paquet, étudiante au baccalauréat en communication sociale de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a choisi de suivre.
Si prendre la décision de poursuivre ses études à l’université a été quasiment naturel pour Klara, sélectionner son établissement d’enseignement était une tout autre question. Son entourage a cependant fait pencher la balance.
« Au moment de faire mon choix, le baccalauréat en communication était à peu près le seul programme qui m’intéressait. J’hésitais beaucoup entre deux ou trois universités, mais en discutant avec mes amis qui étaient déjà dans le programme de communication sociale ici à l’UQTR, ils m’ont convaincu de m’inscrire. De plus, je trouvais cette formation inspirante pour assurer mon avenir », témoigne la jeune femme originaire de Saint-Stanislas en Mauricie.
Arriver sur le tard
Les circonstances ont fait en sorte que Klara ne s’est jointe au programme qu’à partir du mois de janvier, soit une session après ses camarades. Qu’à cela ne tienne, elle a tout de même trouvé le moyen de faire sa place parmi les autres étudiants.
« J’ai rejoint la cohorte d’hiver, donc je n’ai pas eu d’activité d’intégration lors de ma rentrée parce que le groupe était déjà formé. Ce qui m’a le plus aidé, c’est que j’avais une amie qui était déjà dans le programme, alors mon arrivée s’est bien passée. Ce qui est super, c’est que je ne me suis pas sentie à part en raison de mon arrivée tardive. Les gens du baccalauréat en communications sont très gentils, alors ce n’est pas difficile de rencontrer les personnes. J’ai vraiment découvert une communauté trippante à l’UQTR ! », affirme Klara.
« Les gens du programme sont trop cools ! Il y a beaucoup d’activités, et on dirait que toutes les cohortes se connaissent. Je vois les gens se parler dans les corridors, et ils ressemblent à une grosse famille », renchérit-elle.
Même si Klara n’a qu’une session à son actif, elle n’a pas non plus tardé à prendre ses aises dans le volet académique de ses études.
« Je n’ai jamais eu d’aussi bons résultats au cours de mes études ! C’est sûr qu’on préfère tous des cours plutôt que d’autres, et moi j’ai vraiment accroché sur relations publiques, et sur médias et société. J’ai beaucoup aimé la matière, et j’ai trouvé les professeurs très intéressants. Je peux compter sur eux et je sens vraiment qu’ils souhaitent collaborer à ma réussite », indique l’étudiante.
Un emploi du temps flexible
Les études universitaires ont parfois la réputation d’être extrêmement exigeantes en matière de temps et d’énergie. Pour sa part, Klara trouve que le baccalauréat en communication sociale se distingue par la cadence accessible de son cheminement.
« C’est un programme relativement facile, au sens où le rythme des études est différent de ce qu’on impose en médecine par exemple. Quand on me demande comment se passe mon baccalauréat, je réponds que j’aime ça parce que ça se fait bien. Pour quiconque aime la matière, les cours se font aisément », avance l’étudiante.
Grâce à la façon dont Klara aborde ses études, cette dernière trouve également du temps pour s’adonner à d’autres activités. Dans ses temps libres, elle continue de s’impliquer dans d’autres sphères de la communication.
« J’ai commencé à écrire des articles sur des blogues il y a environ deux ans. Au début, j’écrivais pour Le Cahier, et ensuite j’ai eu l’opportunité de devenir chroniqueuse pour le blogue de Sarah Couture. Je traite surtout des sujets liés à l’art de vivre : je suggère des activités, des recettes, bref des choses de la vie quotidienne. Sinon, je fais aussi de petits contrats de montage et d’animation dans le domaine de la vidéo. Il m’arrive aussi d’être ambassadrice pour la radio Rythme FM », conclut-elle.