L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) présente jusqu’au 29 novembre l’exposition « Les chercheuses en BD », au salon Alexis-Klimov de la Bibliothèque Roy-Denommé. Ce projet artistique, initié en collaboration avec le Consulat général de France à Québec, permet au public de découvrir le parcours de 21 chercheuses provenant du réseau universitaire québécois, grâce au talent d’autrices de bandes dessinées d’ici et de la France.
Syrina Al Ain, professeure au Département d’anatomie est la représentante honorable de l’UQTR au sein de cette exposition. Deux grandes planches de bande dessinée illustrent le parcours et les activités de recherche de la chercheuse.
« Les chercheuses en BD » est une exposition itinérante, qui retrace le parcours et la réussite de 21 femmes impliquées dans la collaboration scientifique franco-québécoise, à travers les œuvres de 21 autrices de bande dessinée, qui ont produit des portraits inspirants et uniques pour nourrir cette 2e exposition originale.
Dans le cadre d’appels à candidatures lancés à l’été 2023, de nombreux profils de chercheuses et de bédéistes ont été reçus. Parmi elles, 21 femmes provenant de 13 universités du Québec ont été sélectionnées. Les artistes, provenant de la France et du Québec, ont été choisies par le Festival BD de Montréal pour brosser leur portrait.
Chaque duo chercheuse-bédéiste a échangé afin de produire deux planches de bande dessinée qui illustrent le parcours et les activités de recherche de la scientifique.
En plus de présenter les portraits de ces femmes inspirantes qui ont choisi des vocations scientifiques et qui ont fait leur marque dans leurs domaines respectifs, ces récits se veulent aussi un encouragement pour toutes celles qui songent à poursuivre une carrière dans la recherche et les sciences.
« C’est une belle vitrine pour faire rayonner l’UQTR et mettre en valeur le cheminement scientifique de l’une de ses chercheuses. L’exposition « Chercheuses en BD » permet de vulgariser la profession scientifique et de susciter une curiosité dès le plus jeune âge. Ce qui se fait dans l’Université reste accessible et ouvert à la communauté. Longue vie à la collaboration fructueuse entre l’UQTR et le Consulat général de France, permettant d’allier la science et l’art », a commenté la professeure Syrina Al Ain.