Une délégation sénatoriale française dirigée par M. Rémy Pointereau, président du Groupe d’amitié France-Québec et sénateur du Cher (Centre-Val de Loire), était de passage à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) le 24 avril dernier. Ils étaient sur place afin de visiter deux instituts de recherche du secteur des énergies renouvelables. Pour l’occasion, les sénateurs étaient accompagnés du député de Nicolet-Bécancour, M. Donald Martel, et du directeur des affaires interparlementaires, internationales et du protocole du Québec, M. Tommie Hamel.
MM. Sébastien Charles et Sylvain Benoit, respectivement vice-recteur à la recherche et au développement et directeur du Bureau des relations internationales, ainsi que Mme Isabelle Melançon, directrice Bureau des affaires gouvernementales, ont accueilli la délégation. La visite a débuté à l’Institut de recherche sur l’hydrogène (IRH), où le codirecteur, M. Loïc Boulon, en compagnie de M. Kodjo Agbossou, professeur au Département de génie électrique et génie informatique, et Mme Marie-Ève Marchand-Lamarche, technicienne de laboratoire, a présenté l’Institut et les travaux de recherche. Par la suite, la délégation a eu l’opportunité de découvrir l’Institut d’Innovations en Écomatériaux, Écoproduits et Écoénergies à base de biomasse (I2E3) en compagnie du directeur, M. Éric Loranger, et de M. Daniel Bégin, agent de recherche.
Un secteur névralgique
Le développement des énergies renouvelables est devenu incontournable pour la majorité des nations à travers le monde. Le Québec et la France ne font pas exception à ce niveau et ils redoublent d’efforts pour s’engager dans cette voie. Les chercheurs de l’UQTR travaillent donc à pied d’œuvre dans ce vaste chantier.
La France : partenaire de longue date de l’UQTR !
« L’UQTR entretient plus de cinquante accords avec une quarantaine d’établissements de la France. À la session d’automne 2022, l’Université accueillait plus de 350 étudiants français à tous les cycles d’études », comme le souligne Sylvain Benoit, directeur du Bureau des relations internationales de l’UQTR. Ces collaborations permettent non seulement à des étudiants français de venir acquérir de nouvelles compétences académiques et interculturelles, mais facilitent également la mise en place d’une panoplie de projets : mobilité professorale, projets virtuels, stages, double diplomation, cotutelles et écoles d’été. L’amitié franco-québécoise est donc bien vivante à l’Université, et elle s’incarne dans une multitude de facettes !