
Josyane Brouillard, étudiante à la maîtrise en sciences de l’environnement (profil avec mémoire) de l’UQTR, avec un faucon pèlerin. (Photo: Florence Blais)
Sauriez-vous quoi faire en présence d’un oiseau de proie blessé? Protégées par la loi, les oiseaux de proie sont des espèces à déclaration obligatoire, c’est-à-dire que nous avons tous le devoir de déclarer un oiseau de proie trouvé blessé, malade ou mort. L’Union québécoise de réhabilitation des oiseaux de proie (UQROP) est le seul organisme de la province qui assure des soins spécialisés aux oiseaux de proie, dans le but de les remettre en liberté. L’organisme à but non lucratif est situé à Saint-Jude, en Montérégie, et bénéficie d’une collaboration avec la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal à Saint-Hyacinthe pour soigner ces oiseaux. En compagnie de Jo et de Léa, apprenez les bons gestes à poser si vous trouvez un oiseau de proie blessé et découvrez toutes les étapes de réhabilitation d’un pygargue à tête blanche blessé.
Cet article – Courant d’idées – est rédigé par Josyane Brouillard, étudiante à la maîtrise en sciences de l’environnement (profil avec mémoire) de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).
Courant d’idées permet à la communauté scientifique de l’UQTR de s’exprimer sur différents sujets et enjeux à travers une série d’articles vulgarisés pour le grand public. Consultez notre guide de rédaction.
Ouvert aux chercheurs, étudiants de cycles supérieurs et chargés de cours.