La recherche est la fondation d’une université. C’est le moteur principal de la découverte scientifique. Elle repousse les frontières du savoir dans tous les domaines. Grâce à elle, l’enseignement universitaire est dynamisé et propulse la communauté étudiante dans l’atteinte de ses objectifs. Entrez dans le monde de celles et ceux qui forment la relève et définissent l’excellence de la recherche à l’UQTR.
C’est l’humain de la recherche qui m’intéresse
Esther Lévesque, professeure au Département des sciences de l’environnement, UQTR.
- Prix d’excellence en recherche et création 24-25
Moi, je suis une fille qui aime travailler en équipe. En recherche, on forme des équipes avec nos étudiants, mais aussi avec les collègues avec qui on travaille. Parce que, pour répondre à une question, souvent ça prend plusieurs expertises. Donc, moi c’est ça. En fait, c’est l’humain de la recherche qui m’intéresse. … En ce moment, par exemple au Département, nous sommes plusieurs qui travaillons en recherche nordique, puis on peut donc collaborer et codiriger des étudiants. Donc, adresser des questions plus complexes que seule je ne serais pas capable de faire, donc, je pense, que c’est ça que je préfère.
La recherche pour améliorer les pratiques
Joël Tremblay, professeur au Département de psychoéducation et travail social, Campus de Québec, UQTR.
- Prix d’excellence en recherche et création 24-25
J’oriente mon travail sur la recherche clinique. Je m’intéresse aux traitements des dépendances. Tous les projets que nous menons sont tous orientés vers ce type d’objectif : améliorer les pratiques cliniques. Pour moi, c’est un plaisir constant. Il y a toujours des moments plus difficiles, plus exigeants, mais l’objectif principal me rend très heureux dans mon travail, très certainement. … Je suis fier d’avoir développé avec des collègues un programme d’intervention en première ligne pour des CLSC partout au Québec. Il s’agit du programme Mes choix conçu pour outiller les intervenants liés à la consommation excessive de plusieurs substances, dont l’alcool et le cannabis.
Fournir des solutions concrètes à des enjeux de société
Alexandra Lecours, professeure au Département d’ergothérapie, UQTR.
- Prix de la relève scientifique 24-25
Ce qui me passionne le plus dans mon travail de chercheuse, c’est vraiment l’opportunité que j’ai de pouvoir réfléchir à des questions de recherche originales. Développer des devis appliqués aux besoins de la société, puis fournir des solutions concrètes à des enjeux sociétaux. Je dirais que la partie dans tout ça qui me passionne le plus, c’est vraiment la rédaction scientifique. Ça fait peur à plus d’un, mais moi, ça me passionne vraiment.
Former la relève scientifique
Jacques Abboud, professeur au Département des sciences de l’activité physique, UQTR.
- Prix de la relève scientifique, 24-25.
Ce qui me passionne le plus dans mon travail, je dois dire qu’il y a deux choses. La première, c’est que je trouve qu’on a la chance de pouvoir avoir un impact dans la communauté. Donc, c’est sûr qu’on fait nos publications dans nos laboratoires. On va chercher des demandes de subventions, mais ce qu’on crée peut avoir un impact important dans la communauté, donc ça, je trouve ça très gratifiant. La deuxième chose qui me passionne le plus dans mon travail, c’est vraiment former la relève scientifique, donc passer du temps avec mes étudiants, les voir grandir. Donc au début de la maîtrise, où ils sont très naïfs, ils veulent tout essayer. Puis, par la suite, les voir devenir des experts dans un domaine, donc voir, former la relève. Je trouve ça très gratifiant …
